L’usine est installée en sortie de ville au bord de l’eau. Pour s’y rendre il faut emprunter la route du cimetière. Travailler à l’usine c’est aussi y aller tous les jours parfois dans le noir et braver les intempéries. Les souvenirs des ouvrières qui y travaillaient dans les années 60 n’ont pas perdu de leur panache, 60 ans plus tard.
Orage ô désespoir
L’ombre
Auteur : Flore Viglieno Illustration : Clara Baquedano Création sonore : Valentin Pointillart Enregistrement audio : Extrait de témoignages d’employées de l’usine (années 1960 à 2000) | Collecte Usine Pop 2021 Classement des témoignages oraux : Marie-Ange Lasmènes et Thomas Maillard